Nous sommes heureux d'annoncer qu'après deux années d'exposition itinérante dans les grandes villes américaines le david de Michelangelo est enfin de retour à FLORENCE !
et les Sponsors étaient:
mercredi 17 décembre 2008
La minute culturelle de la journée...
Le DAVID de Michelangelo a été prété depuis 2006 à une galerie américaine....
Nous sommes heureux d'annoncer qu'après deux années d'exposition itinérante dans les grandes villes américaines le david de Michelangelo est enfin de retour à FLORENCE !
Nous sommes heureux d'annoncer qu'après deux années d'exposition itinérante dans les grandes villes américaines le david de Michelangelo est enfin de retour à FLORENCE ! 
lundi 15 décembre 2008
dimanche 14 décembre 2008
Quel Plaisir !
RAOUL DUFY, Le Plaisir
Au musée d’art moderne de la ville de Paris
Une exposition merveilleusement pétillante… Raoul Duffy (1877-1953), « d’un naturel plutôt discret, l’artiste est décrit comme sympathique, soigné… Ses deux maîtres : Matisse pour la couleur, Cézanne pour le sens de la composition, l’éclatement de la perspective. Ses spécificités : Dufy dissocie la couleur et la forme. Il a aussi la particularité à son époque, de peindre ses toiles par séries. » Volker Saux
Un artiste qui n’agresse pas son public, et ne cherche pas à provoquer le malaise ou la culpabilité. De très jolies couleurs, des motifs extraordinaires et raffinés. Beaucoup d’œuvres sont présentées, il est important de prendre son temps, de se laisser bercer par ce flot de bonne humeur, vous en ressortirez détendu.
Au musée d’art moderne de la ville de Paris
Une exposition merveilleusement pétillante… Raoul Duffy (1877-1953), « d’un naturel plutôt discret, l’artiste est décrit comme sympathique, soigné… Ses deux maîtres : Matisse pour la couleur, Cézanne pour le sens de la composition, l’éclatement de la perspective. Ses spécificités : Dufy dissocie la couleur et la forme. Il a aussi la particularité à son époque, de peindre ses toiles par séries. » Volker Saux
Un artiste qui n’agresse pas son public, et ne cherche pas à provoquer le malaise ou la culpabilité. De très jolies couleurs, des motifs extraordinaires et raffinés. Beaucoup d’œuvres sont présentées, il est important de prendre son temps, de se laisser bercer par ce flot de bonne humeur, vous en ressortirez détendu.
Le Forum Antique
Jean-Louis Paillet, architecte, chercheur auprès de l’IRAA, Institut de recherche sur l’architecture antique à Aix-en-Provence
Catastrophique !!! Je n’ai absolument rien compris. Difficile de passer après monsieur Moretti. Je n’ai pris aucune note cohérente, la conférence était à s’arracher les cheveux, les documents projetés, à perdre la vue...
Le Forum Antique : « place publique rectangulaire entourée de portiques et de certains monuments dont le nombre et la fonction varient au cours des siècles ». Le thème est difficile a traiter, on l’aura bien compris, malheureusement la conférence était très difficile à suivre…
Il faudra donc rechercher LE livre intéressant de la bibliographie afin d’éclaircir notre esprit à ce sujet.
Dommage !
Catastrophique !!! Je n’ai absolument rien compris. Difficile de passer après monsieur Moretti. Je n’ai pris aucune note cohérente, la conférence était à s’arracher les cheveux, les documents projetés, à perdre la vue...
Le Forum Antique : « place publique rectangulaire entourée de portiques et de certains monuments dont le nombre et la fonction varient au cours des siècles ». Le thème est difficile a traiter, on l’aura bien compris, malheureusement la conférence était très difficile à suivre…
Il faudra donc rechercher LE livre intéressant de la bibliographie afin d’éclaircir notre esprit à ce sujet.
Dommage !
Théâtres Grecs et Romains
Jean-Charles Moretti, directeur de recherche au CNRS
Un sujet intéressant certes, mais beaucoup moins amusant que les bains hellénistiques… et pour cause, les théâtres grecs et romains, nous les avons tous vus et revus tout au long de notre scolarité alors en plus lorsque vous étiez en option théâtre !!!!!!!!!!
Peu motivée par ce thème, quelle ne fut pas ma surprise lorsque Monsieur Moretti débuta la conférence ! Quel orateur, cet homme pourrait vous exposer n’importe quel sujet pendant des heures que vous ne voudriez pas en perdre un mot ! Prise dans le flot de ses paroles, je n’ai quasiment pas pris de note. Alors, je peux simplement vous dire, qu’à l’origine des théâtres il y a des compétitions qui ont lieu sur de simples construction de bois, qui bien sûr au fur et à mesure des siècles sont construites en pierre et se complexifient jusqu’à devenir sous l’empire romain, le « théâtre latin » au style plus monumental. Le plus amusant : la comparaison entre l’Opéra Garnier, et un « théâtre latin » de surface identique, comparaison frappante qui met en avant des proportions opposées. En effet les théâtres actuels se composent d’un espace scène beaucoup plus important que celui des spectateurs alors que les « théâtres latins » constitués d’un espace scène très restreint offrent une capacité d’accueil extraordinaire.
Félicitations et merci au conférencier pour cette soirée !
Un sujet intéressant certes, mais beaucoup moins amusant que les bains hellénistiques… et pour cause, les théâtres grecs et romains, nous les avons tous vus et revus tout au long de notre scolarité alors en plus lorsque vous étiez en option théâtre !!!!!!!!!!Peu motivée par ce thème, quelle ne fut pas ma surprise lorsque Monsieur Moretti débuta la conférence ! Quel orateur, cet homme pourrait vous exposer n’importe quel sujet pendant des heures que vous ne voudriez pas en perdre un mot ! Prise dans le flot de ses paroles, je n’ai quasiment pas pris de note. Alors, je peux simplement vous dire, qu’à l’origine des théâtres il y a des compétitions qui ont lieu sur de simples construction de bois, qui bien sûr au fur et à mesure des siècles sont construites en pierre et se complexifient jusqu’à devenir sous l’empire romain, le « théâtre latin » au style plus monumental. Le plus amusant : la comparaison entre l’Opéra Garnier, et un « théâtre latin » de surface identique, comparaison frappante qui met en avant des proportions opposées. En effet les théâtres actuels se composent d’un espace scène beaucoup plus important que celui des spectateurs alors que les « théâtres latins » constitués d’un espace scène très restreint offrent une capacité d’accueil extraordinaire.
Félicitations et merci au conférencier pour cette soirée !
Des Bains Hellénistiques aux Thermes Romains
Henri Broise, architecte-archéologue, institut de recherche sur l’architecture antique (CNRS)
C’est au Vème siècle avant notre ère qu’apparaissent les premières traces archéologiques de bains collectifs. Tout d’abord construit dans un souci hygiénique, c’est seulement dans la première moitié du IIIème siècle que les bains chauds font leurs apparitions. On trouve alors, à la fois un bain de propreté pratiqué dans une cuve individuelle et un bain chaud de délassement pratiqué dans une baignoire collective ou non.
Les révolutions techniques du Ier siècle (hypocauste, verre à vitre…) laissent place aux thermes romains, beaucoup plus vastes mieux chauffés et mieux éclairés que ne l’étaient les balanéia grecs.
Puis la création du bain froid, à l’époque augustéenne, fini de parachever le développement des thermes qui trouvent ainsi leur formes finales et ceci jusqu'à l’antiquité tardive.
Ce fut, une conférence plus que passionnante et très clairement illustrée. Que de plaisirs à écouter, en ces jours de froid et de grisailles les anciennes techniques de bain…
En sortant, plus qu’une envie, retourner au hammam !!!! Merci encore pour cette merveilleuse conférence.
C’est au Vème siècle avant notre ère qu’apparaissent les premières traces archéologiques de bains collectifs. Tout d’abord construit dans un souci hygiénique, c’est seulement dans la première moitié du IIIème siècle que les bains chauds font leurs apparitions. On trouve alors, à la fois un bain de propreté pratiqué dans une cuve individuelle et un bain chaud de délassement pratiqué dans une baignoire collective ou non.Les révolutions techniques du Ier siècle (hypocauste, verre à vitre…) laissent place aux thermes romains, beaucoup plus vastes mieux chauffés et mieux éclairés que ne l’étaient les balanéia grecs.
Puis la création du bain froid, à l’époque augustéenne, fini de parachever le développement des thermes qui trouvent ainsi leur formes finales et ceci jusqu'à l’antiquité tardive.
Ce fut, une conférence plus que passionnante et très clairement illustrée. Que de plaisirs à écouter, en ces jours de froid et de grisailles les anciennes techniques de bain…
En sortant, plus qu’une envie, retourner au hammam !!!! Merci encore pour cette merveilleuse conférence.
samedi 13 décembre 2008
Merci !
merci à tous d'avoir participé au sondage...
les résultats ??
la gagnante est la paysanne de Ploermel, aquarelle n°1...
le choix n'est plus à faire quant au cadeau à offrir...
les résultats ??
la gagnante est la paysanne de Ploermel, aquarelle n°1...
le choix n'est plus à faire quant au cadeau à offrir...
lundi 1 décembre 2008
Sondage...quelle aquarelle préférez-vous ???
Copie d'après F.H.Lalaisse ("Aquarelles et dessins", Denise Delouche, ed. Ouest-France)
Aquarelle n°1: Paysanne de Ploermel
Aquarelle n°2: Paysanne de Josselin
Aquarelle n°1: Paysanne de Ploermel
Aquarelle n°2: Paysanne de Josselin
Aquarelle n°3: Paysanne de Ploermel
mercredi 26 novembre 2008
Les Cours Publics de Chaillot...
Le cycle se poursuit par une conférence de Stéphane Fichtl, professeur d'archéologie à l'université François Rabelais de Tours.
le thème: "Existe-t-il une architecture publique en Gaule celtique ?"
*
Il semblerait que oui ...
En effet, c’est seulement à partir de la fin de la période gauloise que l’on voit apparaître des villes nommées Oppida par César. Ces villes possèdent un plan d’urbanisme ainsi que des remparts aux fonctions défensive, symbolique et ostentatoire. Ces remparts, dotés de portes monumentales qualifiées de Tour-Porche, sont la forme la plus explicite d’une architecture publique. Par ailleurs d’autres manifestations de cette architecture publique sont actuellement à l’étude sur différents sites de fouille. En effet il semblerait que des sanctuaires sous forme de grande halle au plan basilical aient été construits.
En définitive, une question amusante pour une conférence très sympathique qui met en évidence le difficile travail d’interprétation de fouille archéologique, et mène les professionnels vers de nombreuses et diverses réponses.
*
Rempart vertical / horizontal / Tour-Porche
dimanche 23 novembre 2008
Sublime Musée Rodin !!!
L’hôtel Biron (Paris 7ème arr.)
Tout d’abord quelques repères :
Né le 14 novembre 1840 et après une scolarité médiocre, il entre à l’Ecole Impériale de dessin. Il se rattache à une esthétique issue de l’héritage classique. Le succès ne vint que très tardivement, lors de l’exposition de 1900 avec la présentation de sa sculpture « L’Age d’Airain ». Alors qu’en ce début de siècle Picasso aborde le cubisme, Brancusi la géométrisation des formes et que Marcel Duchamp présente son premier ready-made (Roue de Bicyclette 1913), Rodin reste indiffèrent à ces bouleversements esthétiques.
Tout au long de son œuvre il cherche à transcrire le « caractère tragique de la condition humaine ».
Comment rester insensible à ces magnifiques sculptures de marbre ou de bronze, emplies de mouvement et de sensualité !!!!
Cette visite est un voyage au travers des émotions humaines. Les torsions des corps, des mains, et des visages donnent l’impression d’avoir participé à un ballet de danse. Ce sont des œuvres ravissantes, agréables et émouvantes parmi lesquelles je vous conseille fortement de vous perdre.
Tout d’abord quelques repères :
Né le 14 novembre 1840 et après une scolarité médiocre, il entre à l’Ecole Impériale de dessin. Il se rattache à une esthétique issue de l’héritage classique. Le succès ne vint que très tardivement, lors de l’exposition de 1900 avec la présentation de sa sculpture « L’Age d’Airain ». Alors qu’en ce début de siècle Picasso aborde le cubisme, Brancusi la géométrisation des formes et que Marcel Duchamp présente son premier ready-made (Roue de Bicyclette 1913), Rodin reste indiffèrent à ces bouleversements esthétiques.
Tout au long de son œuvre il cherche à transcrire le « caractère tragique de la condition humaine ».
Comment rester insensible à ces magnifiques sculptures de marbre ou de bronze, emplies de mouvement et de sensualité !!!!
Cette visite est un voyage au travers des émotions humaines. Les torsions des corps, des mains, et des visages donnent l’impression d’avoir participé à un ballet de danse. Ce sont des œuvres ravissantes, agréables et émouvantes parmi lesquelles je vous conseille fortement de vous perdre.
"Le Baiser", "Mains"
mardi 18 novembre 2008
lundi 17 novembre 2008
vendredi 14 novembre 2008
Les Cours Publics de Chaillot !
Le cycle a enfin commencé !!!!!Conférence inaugurale:
Gouverner, c'est construire ou la fable du Palais de Chaillot
"La notion d'architecture publique civile est, par définition, moderne, en ce sens qu'elle suppose une claire délimitation de l'espace public et de l'espace civil. Il y faut surtout, des instances politiques, qu'elles soient étatiques ou locales, disposant d'une autonomie suffisante pour développer des projets architecturaux spécifiques, s'étageant du régalien au scolaire, de l'hospitalier à l'artistique. Les grandes monarchies puis les états-nations qui leur succédèrent en disposaient." Pascal Ory (professeur d'histoire contemporaine à l'université Paris I Sorbonne)
Malgré un sujet passionnant la conférence était plutôt "embrouillée", difficile d'en conclure quelquechose d'intéressant...
L'expo du mois est à Londres!!
à ne pas manquer, jusqu'au 18 janvier 2009, "Renaissance Faces", à la National Gallery de Londres.
A partir du XVe siècle, des artistes comme Van Eyck, Raphaël ou Titien, ont bousculé la façon de tirer le portrait de leurs modèles...
Vieille femme, 1525-1530
de l'Anversois Quentin Metsys
A partir du XVe siècle, des artistes comme Van Eyck, Raphaël ou Titien, ont bousculé la façon de tirer le portrait de leurs modèles...
Vieille femme, 1525-1530
de l'Anversois Quentin Metsys
dimanche 9 novembre 2008
LE 104
104 rue d'Aubervilliers / 5 rue Curial
75019 Paris
Le concept : Réhabilitation des Pompes Funèbres de Paris en un lieu de création et de production artistique, accueillant des artistes résidents.
Attention, vous risquez d’être un peu déçu.
Tout d’abord, l’ensemble des installations n’est pas encore finalisé.
Ensuite, il ne faut pas imaginer le lieu comme un musée, mais plutôt comme les traditionnels passages couverts parisiens.
A gauche ? à droite ? tout le monde semble perdu et les visiteurs déambulent comme dans une salle des pas perdus.
L’accès à certains ateliers, n’invite pas vraiment à l’échange, la plupart sont fermés ou inoccupés. Pour ceux qui ont ouvert leurs portes, il faut encore patienter quelques minutes à l’extérieur (régulation du public oblige). Heureusement de grandes baies vitrées permettent de voir le travail de l’artiste. Mais cet aspect de l’atelier, comme une vitrine de boutique d’artisan, est un peu rebutant. Les ateliers ne se répondent pas, l’énergie dégagée est complètement dispersée et perdue. Les œuvres sont peu novatrices.
D’un point de vue architectural, le travail de l’architecte en chef est remarquable : la restauration est très agréable à l’œil les matériaux et couleurs sont tout à fait convaincants.
En bref, mis à part les ateliers et les créations qui ne m’ont pas convaincus, le site reste très agréable en tant que passage couvert urbain.
Il faudra donc suivre l’évolution de ce lieu et y retourner dans plusieurs mois. En espérant que les habitants du quartier puissent s’approprier ce passage et lui donner vie.
75019 Paris
Le concept : Réhabilitation des Pompes Funèbres de Paris en un lieu de création et de production artistique, accueillant des artistes résidents.
Attention, vous risquez d’être un peu déçu.
Tout d’abord, l’ensemble des installations n’est pas encore finalisé.
Ensuite, il ne faut pas imaginer le lieu comme un musée, mais plutôt comme les traditionnels passages couverts parisiens.
A gauche ? à droite ? tout le monde semble perdu et les visiteurs déambulent comme dans une salle des pas perdus.
L’accès à certains ateliers, n’invite pas vraiment à l’échange, la plupart sont fermés ou inoccupés. Pour ceux qui ont ouvert leurs portes, il faut encore patienter quelques minutes à l’extérieur (régulation du public oblige). Heureusement de grandes baies vitrées permettent de voir le travail de l’artiste. Mais cet aspect de l’atelier, comme une vitrine de boutique d’artisan, est un peu rebutant. Les ateliers ne se répondent pas, l’énergie dégagée est complètement dispersée et perdue. Les œuvres sont peu novatrices.
D’un point de vue architectural, le travail de l’architecte en chef est remarquable : la restauration est très agréable à l’œil les matériaux et couleurs sont tout à fait convaincants.
En bref, mis à part les ateliers et les créations qui ne m’ont pas convaincus, le site reste très agréable en tant que passage couvert urbain.
Il faudra donc suivre l’évolution de ce lieu et y retourner dans plusieurs mois. En espérant que les habitants du quartier puissent s’approprier ce passage et lui donner vie.
"Le Jardin" Atelier Balto et ses Complices
"Exposition à faire soi-même" Paul Cox
jeudi 6 novembre 2008
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